J'avais "chargé" la voiture la veille et à 8h30 j'ai décollé, avec au cœur le stress, un stress semblable à celui que j'éprouvais les matins de compétitions "d'athlé"...il y a longtemps.
Arrivée rue de la Barre, le barnum est là et "ouf !" j'ai une place pour me garer juste en face.
Un bonjour à Françoise et à sa maman qui sont déjà au boulot et c'est partie pour l'installation : je savais ce que je voulais faire, mais comme c'était une première, j'étais un peu désorientée. Mais petit à petit j'ai oublié d'hésiter et tout est devenu naturel, "ça" a pris forme :
Le stand |
Le mur de croquis |
La vitrine |
La table |
Beaucoup de pluie, mais quand même du monde : les organisateurs d'abord, puis les autres exposants qui passent, s’intéressent. Plus tard, ce sont les amis, la famille et tous simplement des passants anonymes mais curieux qui viennent partager quelques mots.
Deux enfants et une jeune fille ont même bravé le froid et se sont pris au jeu du dessin d'extérieur, la planche sur les genoux.
Ils faisait froid oui, mais les échanges étaient là ! :-)
C'est probablement de cette façon que naissent les souvenirs
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