J'ai testé l'an dernier et adopté : "l'aquarelle de terrain" ou "en extérieur".
Peindre dehors, quoi de mieux à la belle saison, croquer les paysages tels qu'on les ressent.
La différence entre dessiner pour raconter une histoire et dessiner pour témoigner de ce que l'on voit, c'est le voyage : d'un côté je me transporte dans une autre réalité pour sentir et voir, dans l'autre, je suis plus que jamais où je suis et je décrypte, comprends.
L'aquarelle de terrain c'est une façon de vivre les lieux !
Première sortie hier, avec deux copines, et il fallait bien être trois pour oser sortir aquarelles et pinceaux avec le temps incertain que nous avons eu.
Vivement du soleil et du temps pour retourner crapahuter le carnet sous le bras !
Je réagis rapidement à ton propos car il m'interpelle. je viens de terminer la lecture de" La sagesse de la terre" entretien entre P-Jakez Hélias et J. Merkalé.. P-J H. y dit, à moment donné, que s'il est assez facile d'être de son temps il est plus compliqué mais néanmoins nécessaire d'être de son lieu. Oui il faut se pénétrer de l'esprit du lieu. Et celà me renvoie à un autre propos qui affirme qu'un homme, comme un arbre, ne peut avoir de belles fleurs et porter des fruits savoureux que s'il est bien enraciné dans son terroir. Il y faut parfois un peu de temps, mais on y arrive cependant.
RépondreSupprimerg.
Cette aquarelle fête le printemps, sans doute;
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Ce sera mon dessin du mois. Invitation à la balade au cœur du bocage, j'entends chanter les oiseaux et je sens le parfum des fleurs d'acacia ! Plénitude !
RépondreSupprimerCh
Il est vrai qu'en ce moment les acacias resplendissent, les couleurs sont belles et les parfums suaves, mais les chants d'oiseaux..........
RépondreSupprimerg.