J’y allais pour faire de la botanique et je ne fus pas déçue. En plus, j’ai même pu rattraper “Avril” en croisant les jonquilles vers le sommet du Sancy. Là haut, certains saules tout juste émergés de la neige fondue laissaient éclater leurs bourgeons, et grâce au relief, les plans se superposant, nous avons pu profiter de ce contraste incroyable entre la végétation de sortie d’hiver et celle d’un été bien installé.
C’était chouette, détailler, comprendre la structure de telle ou telle fleur…j’en perdais l’idée de dessiner. A la fin de la première semaine, j’ai réagi et me suis dis “pourquoi ne pas croquer au stylo bille sur mon carnet de notes de terrain !?” et voilà donc, aux pauses de midi, ou à d’autres moments quelques petits croquis sont venus ponctuer mes notes :
Beaux souvenirs, belles rencontres et de la botanique “non-stop”, j’ai eu du mal à revenir sur terre ;-)
C'est bien ainsi, il nous faut ces moments là. Tant mieux pour toi.
RépondreSupprimerg;
"Un jour il faudra payer le silence de la fleur que l'on cueille"
RépondreSupprimerg.
Je les aime beaucoup ces croquis au stylo noir. Merci de nous faire partager ces bons souvenirs de vacances intenses. Ceux avec des personnages sont certainement très évocateurs pour toi. On a envie de savoir ce que vous observez sur le radeau ! Personnellement j'ai une petite préférence pour les deux premiers même si la tourbière est un milieu que je connais très mal ; c'est une invitation à de nouvelles découvertes...
RépondreSupprimerCh
oui, la végétation a un bon mois de retard cette année,
RépondreSupprimersurtout en altitude
moi j'aime le deuxième
l'eau qui court
on l'entend
même dans un croquis
Même avec un stylo tu nous emmènes rêver.
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